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D'après Armand Viré, la forme celtique ardoux signifie « la fontaine » ou « la [[source]] ».<ref>Bulletin de la Société préhistorique française, tome XXIII, p.67)</ref> | |||
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En Haute-Ecosse, la fiancée se rendait, le matin du jour où son [[mariage]] devait avoir lieu, à la Fontaine de la Mariée, accompagnée de ses filles d'honneur, qui lui lavaient les pieds et le haut du corps avec les [[eau]]x sacrées, pour qu'elle devînt féconde.<ref>Folk-Lore, III (1893), p. 68.</ref> | |||
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==Articles connexes == | |||
* [[Fontaine de Barenton]] | |||
* [[Source de la Douix]] | |||
== Sources == | |||
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Version du 25 octobre 2014 à 12:23
Une fontaine est une source d'eau vive jaillissant du sol naturellement ou artificiellement, et se déversant généralement dans un bassin, ou un édicule de distribution d'eau, simple ou architecturé, comprenant au moins une bouche d'où l'eau s'écoule dans une vasque ou un bassin.[1]
D'après Armand Viré, la forme celtique ardoux signifie « la fontaine » ou « la source ».[2]
Les fontaines sont le lieu d'innombrables légendes et rites populaires, prenant probablement leur origine dans des croyances pré-chrétiennes.
Rites et foklore
Pour porter chance, lors de la fête de Mercuriale les marchands de Rome aspergeaient leurs marchandises, leurs bateaux et leur propre tête avec des branches de lauriertrempées dans l'eau d'une fontaine de Porta Capen connue comme aqua Mercurii.
En Haute-Ecosse, la fiancée se rendait, le matin du jour où son mariage devait avoir lieu, à la Fontaine de la Mariée, accompagnée de ses filles d'honneur, qui lui lavaient les pieds et le haut du corps avec les eaux sacrées, pour qu'elle devînt féconde.[3]
se référer également à Source
Articles connexes
Sources
<references>
- ↑ Dictionnaire Larousse
- ↑ Bulletin de la Société préhistorique française, tome XXIII, p.67)
- ↑ Folk-Lore, III (1893), p. 68.
