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Il est aujourd'hui encore porté et animé par une équipe de 11 hommes blancs alors que sa queue de 5 mètres est supportée par huit hommes sauvages. | |||
== Procession et pratiques == | |||
Sa grande queue garnie de crins et de rubans, descend dans le public qui tente de s’emparer des crins et des rubans porte-bonheur et s’efforce de la retenir. Ils sont ensuite portés au poignet pour porter bonheur. | |||
Le rituel du combat obéit à un scénario qui s’est rigoureusement précisé au cours des vingt dernières années. Les chinchins, alliés de saint Georges, doivent se battre avec les diables pendant que saint Georges combat le dragon avec la lance, l’épée et le pistolet. C’est avec cette dernière arme qu’il tue la bête vers 13 heures.<ref>[http://www.geants-carnaval.org/unesco/reconnaissance.html Le ronde des Géants]</ref> | |||
== Sources == | |||
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Version actuelle datée du 2 janvier 2015 à 16:41
Dragon processionnel de Mons en Belgique.
Description
Il est aujourd'hui encore porté et animé par une équipe de 11 hommes blancs alors que sa queue de 5 mètres est supportée par huit hommes sauvages.
Procession et pratiques
Sa grande queue garnie de crins et de rubans, descend dans le public qui tente de s’emparer des crins et des rubans porte-bonheur et s’efforce de la retenir. Ils sont ensuite portés au poignet pour porter bonheur.
Le rituel du combat obéit à un scénario qui s’est rigoureusement précisé au cours des vingt dernières années. Les chinchins, alliés de saint Georges, doivent se battre avec les diables pendant que saint Georges combat le dragon avec la lance, l’épée et le pistolet. C’est avec cette dernière arme qu’il tue la bête vers 13 heures.[1]
Sources
<references>
