« Alphabet sorcier » : différence entre les versions
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On le retrouve dans les écrits de Cornelius Aggrippa (vers 1531). | On le retrouve dans les écrits de [[Heinrich Cornelius Aggrippa]] (vers 1531). | ||
Certains auteurs le préconisent pour la consécration des outils. | Certains auteurs le préconisent pour la [[consécration des outils]]. | ||
Généralement les accents français du type | Généralement les accents français du type "é" ou "à" ne sont pas notés. Certaines personnes cependant gardent les trémas ("ë", "ï"...) notamment pour les prénoms.<ref>www.Paganguild.org</ref> | ||
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Version du 9 novembre 2015 à 09:38
Il existe plusieurs alphabets "sorciers", généralement à caractère cryptographique.
L'alphabet thébain
Réputé pour être "l'alphabet des sorciers", l'alphabet thébain serait attribué à Honorius de Thèbes. On l'appelle également "les Runes d'Honorius".
On le retrouve dans les écrits de Heinrich Cornelius Aggrippa (vers 1531).
Certains auteurs le préconisent pour la consécration des outils.
Généralement les accents français du type "é" ou "à" ne sont pas notés. Certaines personnes cependant gardent les trémas ("ë", "ï"...) notamment pour les prénoms.[1]
L'alphabet Runique
D'origine Nordique, les runes sont utilisées pour la cryptographie mais aussi pour la divination. Chaque rune a un nom et une signification particulière.
Se référer à Futhark.
Les chiffres d'Agrippa
Ils sont utilisés pour les talismans et sceaux mais aussi pour crypter les chiffres et nombres.[2]
Liens externes
- Police d'écriture theban [1]
- Police d'écriture runique [2]
Sources
<references>
