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Iarilo "le magnifique, le flamboyant"<ref>Boucourechliev, p. 79-80.</ref>, | Iarilo "le magnifique, le flamboyant"<ref>Boucourechliev, p. 79-80.</ref>, est le dieu de la nature des païens slaves. | ||
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Egalement connu sous la graphie "Jarilo". | |||
== Evocations dans l'art == | == Evocations dans l'art == | ||
C'est à Iarilo qu'est sacrifiée la jeune fille dans le ballet "Le sacre du printemps" d'Igor Stravinsky, qui évoque un rite païen destiné à s'assurer de la fertilité de la terre. "C'est une série de cérémonies de l'ancienne Russie", précise le compositeur en interview le 13 février 1913. | C'est à Iarilo qu'est sacrifiée la jeune fille dans le ballet "Le sacre du printemps" d'Igor Stravinsky, qui évoque un rite païen destiné à s'assurer de la fertilité de la terre. "C'est une série de cérémonies de l'ancienne Russie", précise le compositeur en interview le 13 février 1913. | ||
== Sources == | |||
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Version actuelle datée du 16 janvier 2015 à 20:35
Iarilo "le magnifique, le flamboyant"[1], est le dieu de la nature des païens slaves.
Graphies et variantes
Egalement connu sous la graphie "Jarilo".
Evocations dans l'art
C'est à Iarilo qu'est sacrifiée la jeune fille dans le ballet "Le sacre du printemps" d'Igor Stravinsky, qui évoque un rite païen destiné à s'assurer de la fertilité de la terre. "C'est une série de cérémonies de l'ancienne Russie", précise le compositeur en interview le 13 février 1913.
Sources
<references>
- ↑ Boucourechliev, p. 79-80.