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D'innombrables divinités aident l'enfant à grandir : Vaticanus aide le tout petit bébé à pousser son premier cri, Cunina protège l'enfant au berceau, Rumina l'aide à téter, Statulinus ou Statinus lui apprend à se tenir debout, lorsque l'enfant est sevré, Educa lui apprend à manger et Potina à boire, Fabulinus lui apprend à parler, lorsqu'il apprend à marcher, Abeona protège ses départs et Adeona ses retours.
D'innombrables divinités aident l'enfant à grandir : Vaticanus aide le tout petit bébé à pousser son premier cri, Cunina protège l'enfant au berceau, Rumina l'aide à téter, Statulinus ou Statinus lui apprend à se tenir debout, lorsque l'enfant est sevré, Educa lui apprend à manger et Potina à boire, Fabulinus lui apprend à parler, lorsqu'il apprend à marcher, Abeona protège ses départs et Adeona ses retours.


D'autres divinités protègent le bétail et les récoltes : Bubona s'occupe des bœufs, Epona, des chevaux, Pales, des moutons, [[Flora]] fait fleurir le blé, Matula le fait mûrir, Robigo les protège de la rouille.  
D'autres divinités protègent le bétail et les récoltes : Bubona s'occupe des bœufs, [[Epona]], des chevaux, Pales, des moutons, [[Flora]] fait fleurir le blé, Matula le fait mûrir, Robigo les protège de la rouille.  


On célèbre aussi des entités plus abstraites comme Fors et [[Fortuna]], deux déesses du hasard, Fides (la bonne foi), Honor et Virtus (gloire et valeur), Concordia (la force maintenant la cohérence des citoyens), Febris (la fièvre)... et, pour éviter de mécontenter quiconque, on priait même le dieu ou la déesse inconnu.
On célèbre aussi des entités plus abstraites comme Fors et [[Fortuna]], deux déesses du hasard, Fides (la bonne foi), Honor et Virtus (gloire et valeur), Concordia (la force maintenant la cohérence des citoyens), Febris (la fièvre)... et, pour éviter de mécontenter quiconque, on priait même le dieu ou la déesse inconnu.

Version du 13 avril 2014 à 22:29

La mythologie romaine s'inspire en grande partie de la mythologie grecque. Ovide relate ces mythes dans Les métamorphoses. On retrouve également des traces de la mythologie étrusque.

Rome a développé une stratégie d'assimilation des dieux de leurs ennemis. Ils avaient une tactique religieuse consistant à tenter par des prières et marchés de s'allier les dieux de leurs ennemis. Les divinités étrangères pouvaient être adoptées par Rome, comme ce fut le cas pour Cybèle.

Lorsque les romains ont conquis des territoires étrangers, ils ont assimilé les la plupart des divinités locales à aux leurs. Ainsi César, dans La Guerre des Gaules, rapporte que le dieu le plus vénéré en Gaule est Mercure. Ce procédé a été nommé l'interpretatio romana.


On peut distinguer deux grands types de cultes : le culte public, organisés par les villes, et le culte privé, dirigé par le Pater Familias (père de famille). Ce dernier culte se fait devant le lararium.


Tous les aspects de la vie quotidienne sont sous le patronage d'une divinité.

Ainsi chaque partie de la maison est protégée par une divinité domestique particulière : Forculus garde la porte, Limentinus, la pierre du seuil, Cardea, les gonds.

D'innombrables divinités aident l'enfant à grandir : Vaticanus aide le tout petit bébé à pousser son premier cri, Cunina protège l'enfant au berceau, Rumina l'aide à téter, Statulinus ou Statinus lui apprend à se tenir debout, lorsque l'enfant est sevré, Educa lui apprend à manger et Potina à boire, Fabulinus lui apprend à parler, lorsqu'il apprend à marcher, Abeona protège ses départs et Adeona ses retours.

D'autres divinités protègent le bétail et les récoltes : Bubona s'occupe des bœufs, Epona, des chevaux, Pales, des moutons, Flora fait fleurir le blé, Matula le fait mûrir, Robigo les protège de la rouille.

On célèbre aussi des entités plus abstraites comme Fors et Fortuna, deux déesses du hasard, Fides (la bonne foi), Honor et Virtus (gloire et valeur), Concordia (la force maintenant la cohérence des citoyens), Febris (la fièvre)... et, pour éviter de mécontenter quiconque, on priait même le dieu ou la déesse inconnu.