« Comment les Sorcières Considèrent-elles la Mort ? » : différence entre les versions
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Version actuelle datée du 28 août 2016 à 18:25
Comment les Sorcières Considèrent-elles la Mort ?
Traduction Tof et Maud K.
La mort n’est pas un terme mais un commencement. C’est un passage. Lorsque nous mourons, nous quittons ce continuum spatio-temporel pour une autre dimension de laquelle nous ne savons presque rien.
Les sorcières ne croient ni au Paradis ni à l’Enfer et pour elles, le concept de partir pour l’éternité ne veut rien dire. Nous sommes tous dans l’éternité. Nous sommes tous entraînés dans un cycle de vie sans fin. Cela peut nous conduire, après une mort, à revenir vers ce continuum spatio-temporel pour une nouvelle vie. Cette nouvelle vie sera partiellement conditionnée par la précédente, car, selon la doctrine du karma, les leçons que nous n’avons pas réussi à apprendre dans une vie pourront nous suivre partiellement dans la suivante.
Normalement, nous ne conservons pas de souvenir de nos vies passées mais on peut les faire revenir par un rituel de régression. Dans ce rituel, la sorcière envoie l’esprit du sujet au-delà de la barrière de la naissance, par le biais d’un hypnotisme léger, et le sujet se souvient de vies passées. Parfois, ces vies passées sont vues de manières si distinctes qu’elles peuvent être vérifiées en faisant des recherches historiques, mais la plupart du temps ce n’est pas le cas. Dans certain cas, il semble bien que le sujet ne se souvienne pas de grand chose mais qu’il est plutôt en train d’imaginer une vie passée. Mais comme William Blake l’a fait remarquer : « Tout ce qui est possible d’être imaginé est une représentation de la Réalité » et l’imagination ou la fantaisie du sujet procure simplement des détails inventés pour compléter la substance d’une expérience passée ou une projection de ce que sait le subconscient d’une scène du passé.
Les sorcières n’ont pas de chagrin pour les morts. Comme tout le monde, les sorcières ont de la peine pour la perte d’amis ou de parents, mais cette tristesse est vite surmontée par un sentiment de joie pour les nouvelles opportunités qui se présenteront à la personne décédée.